Harcèlement scolaire : le Gouvernement responsable et coupable

Pour lutter contre le harcèlement scolaire, cette véritable plaie qui détruit des enfants et endeuille des familles, le nouveau ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal, appelle à un « électrochoc à tous les niveaux ». Le Gouvernement est-il inclus dans ces « niveaux » ? Nous l’espérons, car les vidéos de harcèlement – voire de lynchage – qui pullulent sur les réseaux sociaux, déroulent quasi-systématiquement le même scénario : un Français de souche se fait martyriser – ou tabasser – sous les hourras, les cris et les éclats de rires d’enfants ou d’ados d’origine extra-européenne. Cette ultra-violence d’origine étrangère, importée chez nous par les gouvernants immigrationnistes sans interruption depuis 1976 (regroupement familial) et 2015 (début de la « crise » des « migrants »), a fait de chaque ville, de chaque école et de chaque rue un coupe-gorge. Cette dégradation radicale de la sécurité des Français, est directement et intimement liée aux décisions du Gouvernement en termes d’immigration, de police et de justice. C’est donc en tout premier lieu aux gouvernants de s’administrer un « électrochoc ».

Par ailleurs, au-delà de la problématique migratoire et de la question raciale qui en découle (car le racisme anti-Blancs est prégnant dans bon nombre d’affaires, si ce n’est la plupart), le Gouvernement doit également passer un coup de balai dans l’Education nationale si vraiment, comme le prétend Gabriel Attal, son rôle « est de protéger à tout prix nos élèves et nos enfants ». Ce coup de balai salutaire, cela consiste à casser et écraser tout ce qui détruit la mentalité, la psychologie, l’intelligence, la joie et la spiritualité de nos enfants (qui sont de vrais enfants, contrairement aux enfants imaginaires de l’inverti Gabriel Attal) : la promotion de la décadence, de la subversion et de l’obsession antifrançaise et antifamille, la libre circulation de la pornographie, l’impunité des auteurs et des complices de violences, la banalisation des drogues, l’enlaidissement et l’appauvrissement moral et intellectuel des œuvres (livres, films, dessins animés) destinées à la jeunesse, la totale permissivité à l’égard de la possession et de l’utilisation des smartphones dès le plus jeune âge, etc. etc.

A ceux qui objecteraient qu’il s’agit là d’un programme inapplicable car trop radical, je réponds que tout n’est qu’une question de volonté politique. Quand un Gouvernement veut, il peut. Il n’y a qu’à voir comment le Gouvernement a transformé la France en goulag géant pendant l’épisode Covid, avec sa cohorte de mesures aussi stupides qu’appliquées avec rigueur (l’auto-attestation, la fermeture du rayon chaussettes, l’interdiction de s’asseoir face à la mer, etc.). Tout n’est qu’une question de volonté politique, le Gouvernement est le premier niveau qui a besoin d’un électrochoc, et tout en découlera. Encore faut-il que le Gouvernement veuille réellement protéger la France et les Français, ce qui est loin d’être certain…