L’appel du Mont Saint-Michel

Le 10 janvier 2009, Carl Lang lance le Parti de la France au Mont Saint-Michel.

Dans cet appel du Mont Saint-Michel, Carl Lang alerte sur la destruction de notre civilisation et de notre identité, dénonce le mondialisme et le marxisme, et fustige « l’immigration de remplacement » (un an avant que Renaud Camus parle pour la première fois de Grand remplacement).

Dans cet appel fondateur du Parti de la France, Carl Lang indique que « nous avons le choix entre le renoncement et l’action, entre l’abandon et la volonté, entre la soumission et la résistance, entre la déchéance et le renouveau ».

Ce samedi, dans le cadre de la campagne pour la présidence de la République, le candidat soutenu par le Parti de la France, Eric Zemmour, était à son tour au Mont Saint-Michel, sur notre ligne politique, lui qui préfère la reconquête à la dédiabolisation, c’est-à-dire, comme le prônait le premier président du PdF, celui qui préfère la résistance à la soumission.

Ce clin d’œil de la campagne, qui fait un détour par notre Mont normand d’où a commencé l’histoire du PdF, doit nous rappeler combien nous avions raison, et combien nous avons raison, de choisir la fidélité à la droite nationale, de choisir d’être ceux qui refusent toute compromission et de choisir d’être les gardiens de la bonne doctrine. Car aujourd’hui, treize ans après notre appel du Mont Saint-Michel, la récompense de ce travail est que la quasi totalité de nos propositions de droite nationale est portée par un candidat donné présent au second tour de la présidentielle, et exposée quasiment chaque jour devant plusieurs millions de Français.

Nous pouvons être fiers de notre ténacité, et quoi qu’il advienne de telle ou telle échéance électorale, le PdF restera fidèle à son appel fondateur et sera toujours l’inébranlable étendard de la droite nationale française saine et non reniée.