La gauche contre la France

Jeudi sur France 2, dans l’émission « L’événement », Jean-Luc Mélenchon a déclaré que la France, ce n’est ni une langue, ni une religion, c’est l’appartenance commune à sa devise « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Une fois de plus, mais c’est important de le noter car elle s’en défend régulièrement, la gauche montre qu’elle est radicalement antifrançaise. En effet, si être Français c’est être d’accord avec la devise de la République, cela veut non seulement dire que n’importe qui peut être Français, mais surtout que les Français qui ne sont pas d’accord avec cette devise seraient moins Français que les autres. On voit là à quel point la gauche est l’ennemi mortel de la France, des Français et de la francité. L’aveu de Jean-Luc Mélenchon rappellera aux distraits que la gauche c’est cela : faire des Français de ceux qui pensent comme eux, même s’ils viennent du bout du monde, et traiter leurs opposants comme les « brigands » qu’ils ne peuvent plus massacrer comme au XVIIIème siècle, mais qu’ils ne se privent pas de traîner devant les tribunaux et de censurer sur les réseaux sociaux.

En étalant ainsi sa vision du Français qui ne serait plus un descendant des Français d’origine, de souche comme on dit, Jean-Luc Mélenchon se pose en fossoyeur de l’identité française. Sans la langue française, sans l’héritage de 1300 ans de civilisation chrétienne, sans la race blanche, on ne fait pas des Français, on fait des habitants de la France, peut-être, mais certainement pas des Français. Il faut en finir avec cet antiracisme béat qui voudrait qu’on puisse faire du premier zoulou venu qui a lu trois citations de Rousseau et de Voltaire un citoyen français exemplaire, plus Français que les Français, et électeur de gauche bien entendu.

N’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon, à la gauche et à tous les assimilationnistes, être Français ce n’est ni une idée ni une construction, c’est être le descendant de ceux qui ont construit la France et se sont sacrifiés pour elle, les hommes d’Alésia, les hommes de Clovis, les hommes de Charles Martel, les compagnons de Jeanne d’Arc, les Poilus de 14-18 dont les noms sont gravés à jamais sur nos monuments aux morts. Les Français blancs ne sont pas des « électeurs » parmi d’autres ni des citoyens comme les autres, ce sont les autochtones et les indigènes, c’est ceux à qui la France appartient, et nous militerons jusqu’au bout contre la gauche pour que la France revienne aux Français !