Prétexte & Remigration

Suite au massacre perpétré lundi par le terroriste suprémaciste blanc syrien musulman Ahmad Al-Issa (défense de rire, il faut faire confiance aux médias…) au cours duquel 10 personnes ont perdu la vie, le président non-élu Joe Biden a demandé hier au Congrès de s’occuper d’une interdiction de possession de certaines armes par le peuple étasunien.

Le désarmement de la population des Etats-Unis est une menace régulièrement brandie par les politiciens de gauche contre la liberté et l’auto-défense.

Pour rappel, si le port d’arme des honnêtes citoyens avait été interdit le 29 décembre 2019, un déséquilibré aurait fait un carnage dans l’église West freeway Church of Christ au Texas. Heureusement, la gauche n’a pas encore réussi à retirer les armes des honnêtes gens, et des paroissiens avaient pu riposter avec leurs propres armes, permettant que le carnage n’ait pas lieu. (Cette affaire peut être mise en parallèle avec le Bataclan où là, aucun Français n’était armé et n’a pu empêcher quoi que ce soit…).

L’attaque perpétrée par le terroriste syrien Ahmad Al-Issa cette semaine n’est une fois de plus qu’un prétexte utilisé par la présidence pour s’attaquer au droit inaliénable des Etasuniens à se protéger des malfrats. Car le contrôle et l’interdiction des armes, cela concerne toujours les bons citoyens. Les malfrats et les terroristes n’ont jamais eu besoin d’un quelconque tampon officiel pour commettre leurs méfaits.

Si vraiment la préoccupation du président non-élu Joe Biden était la sécurité de son peuple, alors non seulement il n’essaierait pas de confisquer ses armes, mais en plus il enclencherait immédiatement l’expulsion de tous les Ahmad Al-Issa qui grouillent sur son territoire comme sur le nôtre.