Avortement : record du nombre de Français assassinés

J’apprends aujourd’hui que les chiffres de l’avortement ont explosé en 2019 en France.

Ainsi, 232200 enfants à naître ont été massacrés dans le ventre de leur mère entre janvier et décembre, faisant de 2019 l’année-record de la politique génocidaire consécutive à la loi Chirac-Veil de 1975, une loi pas assez meurtrière pour la République et les associations subventionnées, qui militent sans cesse pour un assouplissement maximal des conditions permettant l’assassinat des Français les plus fragiles : les tout-petits.

L’une des ruses les plus démoniaques des anti-vie (les « pro-IVG ») est de faire croire que l’avortement ne concerne pas ces tout-petits, mais qu’il s’agit d’une notion, d’un droit, d’un progrès. D’ailleurs, les progressistes qui brandissaient la photo d’un enfant mort (Aylan Kurdi) pour promouvoir une politique d’accueil des immigrés clandestins, s’étranglent dès qu’on leur montre le résultat d’un avortement : un cadavre d’enfant qu’on jette à la poubelle. Facebook et Youtube censurent d’ailleurs les photos et vidéos qui montrent cette réalité.

Avoir fait de l’assassinat d’enfants à naître un droit imprescriptible déconnecté de la réalité de ce qu’est une « IVG », est une monstruosité qui s’ajoute à la monstruosité de l’avortement.

Lorsque nous aurons chassé du pouvoir les avorteurs, nous remplacerons toutes les lois permettant ce génocide par une législation en faveur de l’accueil de la vie, pour la protection des enfants, pour le bien-être des mères et pour la stabilité des foyers français. Il en va de la survie de notre peuple et de notre civilisation, c’est un combat contre la barbarie.