Thuram est à l’antiracisme ce que Bukowski est à la sobriété !

Le footballeur Lilian Thuram, devenu penseur et essayiste puisqu’il a troqué son maillot de foot contre une paire de lunettes, a sorti cette semaine un livre antiraciste intitulé La pensée blanche, un ouvrage prétendument antiraciste.

Lilian Thuram a déjà sorti un livre, intitulé Mes étoiles noires, une espèce de dissertation décousue sur quelques personnalités noires qui ont existé depuis l’ancêtre Lucy jusqu’à Barack Obama (ce n’est pas moi qui le dit, c’est Thuram lui-même…), ce qui en dit long sur le degré d’antiracisme du personnage.

Mais au-delà de ce sketche littéraire, c’est Lilian Thuram lui-même qui est une farce lorsqu’il s’agit d’antiracisme. On se rappelle en effet que son ancien coéquipier Christophe Dugarry avait été choqué, après la victoire des « bleus » au mondial 1998, de voir Lilian Thuram demander à tous les noirs de l’équipe de se rassembler pour une photo avec le trophée, ce qui avait alors déclenché l’incompréhension de Franck Leboeuf :  « Lilian, qu’est-ce que tu dis ? Et si, moi, je disais : allez les blancs, on fait une photo tous ensemble ? ».

Que ce soit bien clair : Lilian Thuram, comme la plupart des autoproclamés antiracistes, n’est qu’un militant noir antiblanc de plus ! Ce type est à l’antiracisme ce que Bukowski est à la sobriété, ce que Staline est à l’humanisme et ce que Marine Le Pen est à la droite nationale !