Défenses immunitaires et rage de vivre

De ce climat fou d’activisme antiraciste faisant du noir le héros et la victime indépassables, et du blanc le coupable bon qu’à la contrition éternelle, l’un des effets le plus important et le moins analysé, si je ne m’abuse, c’est la guerre psychologique totale et radicale qui est faite aux blancs.

En effet, sur le long terme et si les pro-blancs continuent à être écartés du pouvoir, nous risquons de nous retrouver avec d’un côté des millions de noirs rompus au militantisme identitaire, persuadés d’être les victimes de ces salopards de blancs qu’ils ont enfin à portée de main, pour pouvoir les soumettre à défaut (pour l’instant ?) de pouvoir les exterminer, et de l’autre côté des millions de blancs rompus à la repentance et persuadés d’être les ignobles fautifs des malheurs du monde. La rage de vivre contre la honte d’être là. Un camp galvanisé contre un camp démoralisé. Des millions de noirs à qui on a inculqué au forceps un état d’esprit violemment revanchard, face à des millions de blancs à qui on a fait sauter toutes les défenses immunitaires. L’homme blanc est en train de perdre une atroce guerre psychologique et c’est le seul à ne pas savoir que cette guerre se livre.

À court terme, nos seules options crédibles sont politiques et individuelles. Faire en sorte que le combat nationaliste et identitaire perdure et continue d’attirer dans toutes les tranches d’âges (concerts / conférences / cercles de lecture / randonnées / militantisme / campagnes électorales / journées cohésion, etc. etc.) et faire en sorte que nos foyers soient hermétiques à la propagande mondialiste, cosmopolite et anti-française.

Rien n’est perdu, continuons à vivre avec vigueur et bonne humeur, mais n’oublions pas, comme aimait le répéter ce guignol de Macron, que nous sommes en guerre.