Propagande pro-mort

Après l’odieuse et grotesque séquence de masturbation collective au sujet de la constitutionnalisation de l’IVG, le Système (médias – politiciens – personnalités) se livre désormais à une opération de propagande pro-mort à l’encontre des vieux et des blessés / malades en soins palliatifs.

On passera sur l’infinie vacuité des déclarations de ceux qui disent qu’ils préfèreraient être « débranchés » que de risquer d’être un « légume », car ce ne sont toujours que des déclarations de principe faites par des personnes en bonne santé.

La vérité, par contre, est beaucoup plus intéressante : les patients placés en soins palliatifs ne demandent strictement jamais l’arrêt des soins, c’est toujours une décision de l’entourage voire du personnel soignant. Ce qu’il convient de faire, si vraiment le but recherché est la « dignité » du patient, c’est de développer les soins palliatifs et les revendications des professionnels qui y travaillent sont d’ailleurs nombreuses, mais quid de la dignité lorsque l’Etat transforme le « modèle français » en bouiboui du tiers-monde où l’on meurt sur des brancards dans des couloirs ?

Je ne crois absolument pas à la bonne foi d’un Président et d’un Gouvernement qui, en pleine « pandémie » disaient-ils, nous autorisaient à acheter des cigarettes mais pas des slips. L’exemple est ridicule ? Oui, mais il est vrai, révélateur du ridicule des décideurs politiques. La vérité, c’est que ces gens ne sont animés ni par la bonne foi ni par notre « dignité », mais par leur programme de saccage de la France française avec la destruction de la famille traditionnelle, la destruction des valeurs traditionnelles (dont le caractère sacré de la vie) et la destruction de la patrie.

Cet engrenage pro-mort doit être stoppé dès que possible, et notamment lors des prochains scrutins (9 juin 2024, etc.) en votant pour des forces pro-vie, et particulièrement pour les candidats présentés ou soutenus par le Parti de la France qui n’a jamais faibli dans la défense des Français les plus vulnérables : enfants, vieillards et malades.