Le racisme ou la mort

La France entre donc en « urgence attentat »… après l’attentat. Cela veut dire qu’on attend officiellement l’inévitable prochain attentat. Manuel Valls l’avait déjà annoncé aux jeunes Français en 2015 : « Habituez-vous à vivre durablement avec la menace terroriste ».

Voilà ce que nous promettent tous les Manuel Valls et toutes les Elisabeth Borne de la scène politique française : vivre dans l’angoisse du prochain attentat et traiter de racistes ceux qui ont un autre projet à proposer aux Français.

Ce projet soi-disant raciste, c’est tout simplement de se protéger définitivement du terrorisme islamiste en enclenchant la désislamisation de notre pays. Et pour entamer ce processus de désislamisation, il faut en finir avec sa première source : l’immigration.

En effet, nous n’oublions pas que les terroristes du Bataclan étaient entrés en France par « la route des migrants », nous n’oublions pas que l’homme qui a décapité Samuel Paty était issu d’une famille de « réfugiés », nous n’oublions pas que la femme qui a violé et massacré la petite Lola était une Algérienne faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) tout en vivant tranquillement en France… Nous n’oublierons pas que l’homme qui a tué Dominique Bernard hier est issu d’une famille de « réfugiés » qui aurait dû être expulsée si la gauche ne s’était pas mobilisée pour contester cette expulsion.

La triste conclusion à tirer de ce très court inventaire (car on aurait pu ajouter l’assassinat d’Yvan Colonna, le massacre du 14 juillet à Nice, l’attaque de Charlie Hebdo, etc.), c’est que tous ces actes atroces étaient absolument évitables, et sans transformer la France en dictature fasciste ou en enfer d’extrême droite, comme le prétendent ceux qui traitent de « racistes » tous ceux qui veulent en finir avec le massacre des Français par des terroristes étrangers.

En effet, pour nous préserver de la menace terroriste, il suffit tout simplement de faire appliquer les OQTF, d’arrêter l’immigration et d’expulser du territoire tous les étrangers délinquants et tous les étrangers « radicalisés » identifiés par nos efficaces mais trop peu écoutés services de renseignement. Si cette simple politique de bon sens avait été appliquée, tous les morts cités ci-dessus, et bien d’autres, seraient encore en vie aujourd’hui. Seulement, les politiciens qui dirigent le pays refusent d’appliquer cette politique par refus d’être comparés à Marine Le Pen ou à Eric Zemmour. Ils préfèrent que des Français meurent plutôt que de donner raison à ce qu’ils appellent « l’extrême droite ». C’est un comportement qui devrait les mener en prison, mais au lieu de cela ils se pavanent dans les médias, ce qui est une insupportable indécence.

Entre nous faire traiter de « racistes » et empêcher des Français de mourir sous les coups de couteau de l’islamisme, le choix des gens raisonnables est vite fait. On préfère que des irresponsables nous traitent de racistes plutôt que de mourir au nom d’Allah, et penser le contraire relève d’une morbide pulsion suicidaire ou du fanatisme politique.

Il faut avoir à l’esprit que les seules solutions qui peuvent empêcher les Français de mourir de l’islamisme, c’est d’appliquer une politique qui serait considérée comme raciste par les hommes politiques. Il est temps d’assumer et de se foutre de cette insulte, pour notre survie.