Attaque à Arras : le « choc » et la « sidération » ? Vraiment ?!

Nous apprenons ce matin que les professeurs et les proviseurs du pays ont fait part de leur choc, de leur sidération et de leur abasourdissement suite à l’attaque terroriste ayant coûté la vie au professeur de lettres Dominique Bernard vendredi dernier.

Si l’ont peut être triste, effondré ou en colère après un tel drame, il est absolument surréaliste de faire comme si une attaque islamiste était parfaitement inimaginable.

Depuis des décennies, la droite nationale alerte les citoyens français sur le danger que font peser sur le peuple et la société l’immigration et son corollaire l’islamisation.

Cela fait des décennies que nous dénonçons l’impunité inouïe dont jouissent les racailles et les apprentis terroristes.

Et cela fait des décennies que des Français meurent dans des attaques ou des attentats perpétrés par des psychopathes d’origines étrangères.

Face à cela, le corps enseignant s’est répandu en manifestations contre le FN et contre le « fascisme », et perd son temps à travailler sur des « manuels de résistance à l’extrême droite » pendant que les islamistes aiguisent leurs couteaux.

Il faut sortir de cette pensée hors-sol qui voudrait que le fait d’accueillir chez nous des gens qui n’ont pas réussi à s’intégrer chez eux est une bonne chose et peut bien se passer. Non, nous n’avons pas à diluer notre art de vivre dans une tiers-mondisation antinaturelle, et non, nous n’avons pas vocation à être les victimes réelles des considérations fantaisistes des illuminés qui tombent des nues quand un musulman anti-Français tue un Français au nom d’Allah.