Restos du cœur, Secours populaire, etc., ça suffit !

Comme le chantait Assassin au siècle dernier, « Comment cela se fait que les restos du cœur existent au pays des droits de l’homme ? / Si le peuple doit s’organiser pour manger je m’arme tout de suite d’un magnum. »

Il est en effet stupéfiant que plusieurs énormes associations (restos du cœur, secours populaire, etc.) soient nécessaires pour fournir de la nourriture aux Français les moins aisés, dans un pays qui est non seulement développé, mais qui se croit si riche et rassasié qu’il fait venir des étrangers pour les nourrir/soigner/loger et qu’il accorde d’innombrables aides aux pays du monde entier.

En vérité, il y a une proportion grandissante d’étrangers parmi les bénéficiaires de ces associations, et il faut voir comment ils se comportent. Ils ne se contentent pas d’être ingrats (se plaindre de l’absence de grandes marques, des quantités délivrées, d’avoir à faire la queue, etc.), mais ils se permettent également de jeter ce qui ne leur convient pas avant de remplir leurs voitures. Ainsi, il n’est pas rare (loin de là !) de voir les poubelles de ces associations déborder de nourriture, jouets, vêtements, etc.

La solidarité nationale est nécessaire. Il est inimaginable de laisser, en France, des Français manquer de nourriture et d’abri, mais cette solidarité doit être encadrée pour éviter les abus et lutter contre l’oisiveté parasite, et surtout, la solidarité nationale doit être réservée aux seuls nationaux à de très rares exceptions près.

En effet, le système actuel permet à des familles étrangères déjà bénéficiaires de moult allocations d’aller purement et simplement faire leurs courses gratuitement, pendant qu’une partie grandissante de la population est obligée de contrôler chaque article déposé dans son caddie à cause de l’inflation artificielle qui touche notre pays et appauvrit les familles françaises.

Réservons les aides aux Français, refusons d’aider les autres avant les nôtres, et nous aurons réglé une grande partie de nos problèmes.