Littérature : gauchisme partout !

Côté littérature, le même jour, je tombe sur deux énormités gauchistes.

Tout d’abord, sur une vidéo filmée au centre Georges Pompidou où un rayon propose aux enfants moult ouvrages du lobby LGBT et des théoriciens du genre, vidéo qui se termine sur la couverture d’un ouvrage au titre évocateur qui sonne comme un aveu : sortir de l’hétérosexualité.

Ensuite, sur trois pages feuilletées au hasard dans Jamais sans mon libraire, un ouvrage dans lequel les libraires des espaces culturels E.Leclerc souhaitent nous livrer des conseils de lecture par thèmes (à la base une excellente initiative au demeurant). En effet, alors que je m’adonne à l’activité passionnante de regarder le café couler dans ma tasse, je feuillette le petit livre que je viens de me procurer et je tombe par hasard sur les pages 86, 88 et 89 où, incroyable malchance de ma part ou ton général du livre, trois énormités gauchistes viennent agresser mes pupilles innocentes :

P. 86 : Parce qu’il combine à la fois la question écologiste et féministe, […] je recommande ce roman à des lecteurs jeunes.

P. 88 : C’est l’histoire d’un ancien militaire, dont la fille est mort-née à cause de la pollution, et qui devient écoterroriste pour faire payer les responsables du changement climatique.

P.  89 : on nous conseille de lire Hugo Clément et Aymeric Caron pour se sensibiliser à la cause animale.

Par honnêteté intellectuelle, E.Leclerc aurait pu apposer le logo de La France Insoumise à côté de son enseigne « espace culturel »…

Pourquoi je vous raconte tout ça ? Pour le plaisir de chouiner ? Non. Tout ça pour vous demander de faire vivre les plumes, les revues et les librairies de droite, ou nationalistes, ou identitaires, ou enracinées, vous avez l’embarras du choix, et aussi pour vous sensibiliser à ce que les militants gauchistes déguisés en libraires ou en professeurs veulent mettre dans les mains de vos enfants.