Hommage cherbourgeois à Louis XVI

En ce 21 janvier, Mario Varraut, responsable du Parti de la France à Cherbourg, rend hommage à Louis XVI.

En ce 21 janvier 2022, nous nous souvenons de l’assassinat du roi Louis XVI, par la racaille révolutionnaire, afin de rappeler que le projet républicain est fondé sur un régicide et un bain de sang.

Cherbourg est hélas une ville socialiste depuis de trop nombreuses années, mais il subsiste en son cœur une rue atypique, unique dans notre pays, qui porte le nom du roi de France.

L’emplacement de cette rue au nom exceptionnel ne doit rien au hasard. En effet, le 22 juin 1786, l’illustre roi effectue à Cherbourg l’une de ses rares visites en province. Il contemple alors le chantier pharaonique de la rade artificielle. Bien avant Napoléon, Louis XVI comprit l’importance stratégique du port de Cherbourg. Il y fut d’ailleurs reçu avec une ferveur populaire mémorable, ce qui contredit la fable révolutionnaire et maçonnique du roi « détesté de son peuple ». 

« Je n’ai jamais mieux goûté le bonheur d’être roi que le jour de mon sacre et celui de mon arrivée à Cherbourg ». Ainsi s’exprime le roi quelques années plus tard. Il établit ainsi une équivalence entre son onction divine et l’accueil populaire qu’il vit dans la capitale du Cotentin.

Il y a quelques années, des militants de la CGT en manque d’inspiration avaient souhaité débaptiser la rue Louis XVI avant de la rebaptiser momentanément rue Nelson Mandela (personnage qui n’a aucun lien historique avec Cherbourg contrairement au roi).

Prenons garde à ces pulsions de travestissement de l’Histoire. Depuis quelques années, elles prennent l’allure d’une nouvelle barbarie : à Rouen, il a été question de déplacer une statue de Napoléon. Il existe en cela une filiation historique et directe entre les révolutionnaires de 1789, les bolchéviques de 1917 et les militants du « wokisme ». Leur but est clair, dystopique : bâtir une société nouvelle en éradiquant l’ancienne, fonder une loi artificielle en oubliant la loi naturelle, faire en sorte que le peuple français oublie sa propre Histoire et la gloire qui lui est rattachée.

Cette « cancel culture », cette amnésie collective, cette « table rase » communiste, le Parti de la France et ses militants la refuseront toujours. Alors comme le dit la chanson : « Vive le Roi, quand même, vive le Roi, vive le Roi ! »