Covid-19 : manipulation politique et coup d’Etat permanent

C’est reparti pour un tour.

Alors que le Covid-19 continue à être une grosse grippe avec tout ce que ça entraîne (hospitalisation des personnes fragiles – présentant les fameuses comorbidités – et décès malheureux des personnes très âgées, etc., bref, tout comme la grippe), le chef de l’Etat, le Gouvernement et la meute merdiatique servile nous resservent la ridicule soupe de la pandémie, au prétexte de la réunion d’un conseil de défense ce mercredi.

Que les choses soient bien claires : que cette maladie soit plus ou moins grave que d’autres, cela regarde uniquement les malades et ceux qui les soignent, comme n’importe quelle autre maladie. A aucun moment il est légitime que cela impacte, sous quelque forme que ce soit, le quotidien et les libertés des dizaines de millions de Français en bonne santé.

Se servir de la contamination au Covid-19 est une manipulation politique scandaleuse et permet à la Macronie de détourner la force et les moyens publics pour instituer un système étouffant de coup d’Etat permanent.

Une manipulation scandaleuse, tout d’abord.

Se servir de cette maladie, depuis mars 2020, pour faire de la politique est un scandale absolu.

Cela fait désormais presque deux ans que les politiques les plus folles sont menées contre la population française au nom de la lutte contre la « pandémie », sans que cela ne change quoi que ce soit d’un point de vue sanitaire puisque, en ce jour de conseil de défense du 24 novembre 2021, le pouvoir et les médias continuent d’écraser les Français avec le sacro-saint Covid qui les excite tant et dont ils aiment tant parler.

Confinement, couvre-feu, vaccination, pass-sanitaire, port du masque, jauges, gestes barrières, fermetures d’écoles, de bars, de salles de sport, etc., absolument rien de tout cela n’a permis d’en finir avec la folie covidiste de nos dirigeants, bien au contraire : plus nous nous enfonçons dans la tyrannie pharmaceutique et plus le pouvoir nous accable, plus les médias sont bavards.

On aura tout eu, depuis le début de ce chapitre « sanitaire » que personne, parmi les élites, ne souhaite refermer :

  • Le décompte du croque-mort Salomon
  • L’interdiction d’acheter des masques
  • L’obligation d’acheter des masques
  • L’interdiction d’acheter des livres (mais l’autorisation d’acheter du tabac…)
  • L’auto-attestation s’autorisant soi-même à sortir de chez soi
  • La transformation du décompte des morts en décompte du taux d’occupation des lits d’hôpitaux
  • La transformation du décompte du taux d’occupation des lits d’hôpitaux en décompte du taux d’incidence
  • Entre-temps, la mise à pied de tout le personnel soignant non vacciné
  • Entre-temps, l’apparition de plusieurs variants méga dangereux qui n’ont pas tué plus de Français que les autres grippes
  • La disparition des variants
  • L’instauration du pass-sanitaire qui permet aux non-vaccinés testés négatifs au Covid d’aller au restaurant avec les vaccinés non testés et potentiellement positifs au Covid, etc.

Tout cela, tout ce sketche, tout ce cirque, n’a qu’une seule réelle utilité : l’instauration d’un régime d’exception permanent.

Le coup d’Etat permanent

Puisque, on l’a vu, les mesures prises au nom de la lutte contre le Covid-19 n’étaient ni justifiées ni efficaces, l’acharnement des gouvernants à poursuivre dans la voie de la restriction de nos libertés et dans l’obsession de notre contrôle continu n’a qu’un seul but, pas sanitaire, mais politique : instaurer un état d’urgence permanent, ce qui revient, de fait, à instaurer une dictature.

Il s’agit d’un putsch, d’un coup d’Etat permanent, qui permet aux dirigeants politiques et aux journalistes serviles de cacher toutes leurs turpitudes, tous leurs échecs, toutes leurs trahisons et toutes leurs corruptions, derrière un discours artificiellement entretenu sur une pseudo-pandémie qui ne tue rien d’autre que nos libertés individuelles et notre art de vivre français, en plus de transformer notre race en bétail tracé, surveillé et mis au pas.

L’opposition politique au pass-sanitaire est presque impossible à grande échelle : pas de réunions ni de meetings dans des grandes salles sans pass-sanitaire, pas de déplacements en train ni en avion d’une région à une autre sans pass-sanitaire, etc.

On a le droit de protester (militantisme et manifestations), mais pas de s’organiser. Cela nous est rendu quasi-impossible par le régime mis en place par Edouard Philippe, Emmanuel Macron et Jean Castex. Nous sommes les prisonniers des covidistes.

Alors, une solution existe-t-elle ? Oui : elle est double.

La première, c’est d’envoyer à la tête de l’Etat un homme politique opposé au cirque sanitaire et aux restrictions qui vont avec. Parmi ceux qui ont une chance d’obtenir les 500 parrainages d’élus nécessaires pour concourir, mon choix se porte sur Eric Zemmour.

La deuxième, c’est de ne rien lâcher : continuer à protester tant qu’on a la possibilité de le faire, et continuer de s’organiser, malgré les innombrables contraintes, pour pérenniser notre mouvement, pour ne pas laisser notre cause étouffer sous le rouleau compresseur politico-médiatique, et pour permettre que nos idées continuent de vivre ou de survivre jusqu’au jour où nous serons, enfin, en mesure de les appliquer en remplacement des mortifères politiques actuelles.

Courage, on les aura !