De Gaulle ? Non merci !

En ce 9 novembre, date bénie où nous avons enfin été débarrassés du traître intégral Charles de Gaulle en 1970, les candidats à l’élection présidentielle se bousculent pour savoir qui est son meilleur descendant.

Cette pathétique course à l’approbation posthume du déserteur de 1940, du responsable de l’épuration de 1944-1945 et du fossoyeur de l’Algérie française en 1962, en dit long sur l’état déplorable de la république dite française, de ses élites et de ses (futurs) représentants.

Le camp national, non renié, est fondamentalement antigaulliste car il a de la mémoire et de l’honneur.

Notre défunt président d’honneur Roger Holeindre a consacré un volume entier au traître de Gaulle : L’homme qui faisait se battre les Français entre eux, paru en 2009, que je vous encourage à vous procurer et à lire.

De Gaulle, c’est le poison de la guerre civile dans la France occupée.

De Gaulle, c’est le poison de la guerre civile dans la France dite libérée.

De Gaulle, c’est le poison de la guerre civile dans l’Algérie française attaquée par les communistes et les islamistes.

De Gaulle a les mains couvertes de sang français !

De Gaulle, c’est déjà huit décennies d’imposture, de mythification et de falsification. Il est grand temps, plutôt que de se précipiter dans ses pas, de le jeter une bonne fois pour toutes dans les poubelles de l’Histoire, c’est le moins qu’on puisse faire au nom de tous ceux qui sont morts par sa faute, dont un certain Robert Brasillach.