Le climat s’est tellement dégradé à Caen, où l’apport de nouvelles populations étrangères est continu depuis la fin des années 2000 mais surtout depuis 2015 et la soi-disant « crise migratoire », que les femmes et les personnes accompagnées d’enfants peuvent désormais demander aux chauffeurs de bus de les arrêter à proximité de leur domicile plutôt qu’à tel ou tel arrêt Twisto, de façon à éviter de se faire agresser, violer ou dépouiller.
Cette mesure en dit long sur l’impuissance de la force publique et sur la démission des autorités face à l’insécurité, ce qui impose aux honnêtes citoyens de changer leurs habitudes, dans un surréaliste jeu du chat et de la souris avec la racaille qui traîne impunément à Caen.
Plutôt que de faire vivre les femmes et les enfants de Caen dans la terreur psychologique digne d’un pays en guerre, il serait plus efficace de remettre la racaille à sa place : emprisonner les racailles françaises et expulser les racailles étrangères !
Je souhaite revoir Bruno
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