Ils ne s’arrêtent jamais, et ils ont bien raison

Il arrive régulièrement que des objecteurs de conscience du milieu nationaliste, patriote ou identitaire accusent la « vieille extrême droite ringarde et obsessionnelle » de parler d’autre chose que du gauchisme, de l’immigration ou de l’islam, comme par exemple notre attachement aux valeurs familiales, aux bonnes mœurs, à la bonne tenue de la société, à notre héritage spirituel, etc.

Nous clamons, parfois dans le désert, l’obligation qui nous est faite, en tant que nationalistes français, d’être les inconditionnels défenseurs de la civilisation et de la race françaises, d’être chacun un rempart face au monstre froid qui essaie de détruire notre identité, notre art de vivre, le bien-être de nos enfants, l’équilibre de notre société, notre vision de la liberté, notre foi et nos lieux de culte, etc. Quand nous rappelons qui sont les fauteurs de troubles et quand nous expliquons ce que nous défendons, nous sommes parfois accusés d’être des passéistes, des nostalgiques ou tout simplement à côté de la plaque.

Nos adversaires politiques, eux, ne sont pas aussi précautionneux que nous. En effet, leurs bulldozers détruisent joyeusement nos églises et leurs députés proposaient cette semaine à l’Assemblée l’annulation du concordat entre l’Eglise et l’Alsace-Moselle.

L’activisme de nos adversaires et leur capacité à poursuivre un objectif, voilà qui doit mettre la puce à l’oreille des nationalistes : oui, des gens en veulent à l’intégralité de notre civilisation ; oui, il est logique d’être les défenseurs intégraux de notre civilisation.

Les agents de l’anti-France sont en guerre contre nous, nous sommes donc en guerre contre eux. Ce n’est pas un choix mais une nécessité politique, et même : c’est un devoir et un honneur pour tout Français debout, sain et non renié.