De la diabolisation à la criminalisation de l’opposition politique

Le militant antifa Gérald-Moussa Darmanin a lancé une procédure visant à dissoudre l’organisation militante anti-immigration et anti-islamisation Génération Identitaire.

Cette agression administrative, qui n’est pas sans rappeler les précédents tout aussi arbitraires de Manuel-Carlos Valls contre Dieudonné, l’Œuvre Française et les Jeunesses Nationalistes, est une nouvelle manifestation de l’inquiétante politique de criminalisation de l’opposition politique.

En se comportant ainsi, le petit ministre de l’Intérieur de cette parodie de république devient l’un des rouages de cette monstrueuse machine à réduire au silence les citoyens qui refusent de penser comme la grande loge.

A terme, mais c’est déjà le cas dans la plupart des médias et des assemblées, on pourra soit être de gauche, soit être un délinquant. Être pour l’immigration, ou être un salopard. Être pour la transformation de la France en califats, ou être une ordure, etc.

Que la procédure de dissolution aboutisse ou pas, l’important c’est que chaque Français qui refuse la réécriture de son Histoire et la mise en esclavage de sa race ne lâche rien de l’engagement militant, car en face, dans le camp dégueulasse de l’anti-France dont Darmanin est l’un des nouveaux avatars, nos ennemis politiques ne lâchent rien non plus. Il s’agit d’un combat idéologique à mort, et notre seule chance d’être battus d’avance c’est de refuser ce combat. Alors restons des combattants, poursuivons la nécessaire entreprise de guérilla intellectuelle et continuons à militer pour la diffusion de nos idées. Haut les cœurs !