Et les millions de jeunes blancs ?

Dans son interview donnée à Brut, le chef de l’Etat a déclaré que nous avons des millions de nos jeunes qui sont issus du continent africain et qu’on n’a pas su leur parler.

Dans un premier temps, cette déclaration du président de la république confirme ce que la droite nationale dit depuis des années malgré les tentatives de démentis de l’intelligentsia politico-médiatique : il y a bien une africanisation de la population française, c’est-à-dire un recul des Français blancs sur leurs propres terres.

Dans un second temps, les indigènes Français, c’est-à-dire nous les blancs, nous semblons totalement absents des inquiétudes et des projets d’Emmanuel Macron et de son équipe. Les élites du pays n’ont besoin de nous, les blancs, que pour servir de faire-valoir lorsqu’ils veulent adopter des postures antiracistes et moralisatrices, entre deux opérations de recherche d’argent à voler dans notre poche pour entretenir leur régime et leur idéologie pourris.

Emmanuel Macron, en opposant dans son discours les autochtones français et les Africains à papiers français, parle comme s’il y avait des législations différentes pour ces deux populations et donc des injustices à réparer, ce qui est absolument faux. Nous subissons tous la même législation, et d’ailleurs la police réprime surtout les blancs, il n’y a qu’à voir la différence de traitement entre les gilets jaunes et la racaille, ou entre les Français sans attestation de sortie et les manifestations de soutien au clan Traoré. Les Français de souche n’ont aucune injustice à réparer aux « jeunes issus du continent africain », ni aucune amende à leur payer via les impôts. Si des « millions de jeunes qui sont issus du continent africain » se sentent mal en France, qu’ils retournent en Afrique.

N’en déplaise à Macron, et à tous ceux qui sont de son bord politique cosmopolite, il y a aussi des millions de jeunes blancs en France, et nous ne laisserons pas leur pays devenir le terrain de jeu du tiers-monde.