Refus de porter le masque : des élèves facétieux traités de conspirationnistes par leur professeur

Une jeune femme, professeur, adepte de Twitter, s’est plainte d’une action facétieuse des élèves de sa classe : ils ont tous retiré leur masque au même moment. Réaction de ce professeur : ma classe est remplie de petits conspis, comprendre « conspirationnistes ». Je vois de l’affliction et de l’espoir dans ce non-événement. Je suis affligé par le comportement de ce jeune professeur qui, malgré son âge relativement éloigné de la sénilité, semble considérer d’égal niveau le fait de se moquer d’une consigne dérisoire, ridicule et absolument vide de sens, et le fait d’être un conspirationniste, c’est-à-dire être un ahuri persuadé que la terre est plate ou que les hommes politiques sont des reptiliens, ce genre de choses. Cette manie qu’ont les citoyens politiquement corrects, de considérer comme des fous « conspirationnistes » ou « complotistes » ceux qui ne suivent pas aveuglement les consignes du Gouvernement et leur écho médiatique, revient à psychiatriser les opposants politiques, ce qui est la conséquence logique de la banalisation de la pénalisation de l’opposition politique, qui transforme en délinquant quasiment tous ceux qui s’opposent à l’idéologie dominante, notamment à cause des lois Pleven, Gayssot, Taubira, etc., que le Parti de la France propose d’ailleurs d’abroger.

Mais ce non-événement est également une source d’espoir, car je vois dans cette volonté d’ôter cet inutile masque la marque de l’insouciance, de l’impertinence et de la joie, bref, de la vie ; de la vie qui se vit sans masque et sans avoir aucune obligation de porter sur ses épaules le poids délirant des étranges turpitudes des Véran, des Salomon et de toute leur clique.

N’en déplaise aux professeurs paniquards et bien pensants, n’en déplaise aux journalistes pour qui chaque fait et geste d’Emmanuel Macron est un motif de jouissance publique, il n’est pas encore venu, le jour de notre domestication, le jour de notre soumission, le jour de l’abandon. La France vit et les Français vivent. Ce Gouvernement d’affairistes médiocres et pédants passera et tombera dans l’oubli, pendant que nous en serons encore, génération après génération, à conserver intact notre refus de collaborer avec ces gens-là, chantant la gloire de notre race devant le feu sans cesse ravivé du peuple franc libre, fier et indépendant !