Cathédrale de Nantes en feu, Eglise catholique à rebâtir

La croix. La croix du Sauveur, la croix du Seigneur. L’intangible vérité révélée, jamais démentie, l’indispensable tradition, toujours salutaire, le respect de la liturgie sacrée, joyau de notre civilisation.

C’est à cela que devraient consacrer leur vie ceux qui sont engagés au sein de l’Eglise catholique, prêtres, évêques et pape, plutôt que de se vautrer dans toutes les erreurs modernistes permises par le concile Vatican II et qui aboutissent à la ruine du catholicisme, à la décadence du culte, à la dépravation de la société.

Le dernier exemple en date, le soutien de certains catholiques de Nantes au clandestin africain qui a mis le feu à leur cathédrale, est symptomatique du naufrage de l’ONG gauchiste qu’est devenue l’Eglise catholique depuis qu’elle est infectée par le virus moderniste. Ces catholiques-là n’ont plus de catholique que l’étiquette, leur pratique n’a rien à voir avec ce qu’a toujours été l’Eglise, y compris leur messe, et leur détestable doctrine est le fruit de l’épouvantable acceptation du remplacement des droits de Dieu par les droits de l’Homme.

Fort heureusement, même si l’Eglise est à la dérive et les fidèles livrés à eux-mêmes, la tradition catholique vit toujours, la vraie messe existe encore et les enseignements nécessaires, salutaires et édifiants des bons papes, pères et docteurs de l’Eglise nous montrent toujours la voie, avec la Croix comme socle, le Christ comme but, le salut comme horizon.