Analyse de l’hystérie George Floyd (par Laurent Obertone)

Donc, si on résume, pour un voleur tué lors de son arrestation aux États-Unis, pays aux 42 meurtres par jour, on a droit à :
– des milliers d’articles et d’heures de direct
– « l’indignation générale » et « unanime » du monde entier
– l’habituelle « solidarité » de tous les lâches qui ne savent pas respirer seuls
– les sportifs noirs parmi les mieux payés et les plus adulés de la planète qui se plaignent de « racisme systémique »
– le festival des « hommages » pathétiques qui sonnent aussi faux que la compassion des « démocrates »
– les présentateurs en larmes et plus obséquieux que jamais avec le petit personnel afro
– les internautes en pleine catharsis publique sur leurs « privilèges » qui essaient de placer partout leur conformisme
– la fillette noire qui pleure et demande pourquoi le monde est si méchant
– les « experts » en boucle sur les « vieux démons de l’Amérique rurale sous-éduquée qui vote Trump »
– les patrons des réseaux sociaux qui se demandent s’il faut les censurer beaucoup ou vraiment beaucoup
– les « stars » en plein concours de chantage à la culpabilité
– les zombies blancs qui se mettent à genoux – ou à plat ventre – devant des Noirs pour s’excuser d’exister
– le Mélenchon qui parle de « révolution citoyenne » pour gagner 2% à Grigny
– les grandes marques qui se précipitent sur le cadavre pour soigner leur com’ charogneuse et faire quelques billets #BlackLivesMatter
– le relais en roue libre du racisme anti-blanc le plus total et assumé, les Blancs coupables de tout, depuis toujours, insidieusement et vicieusement coupables, etc.,
– les émeutes géantes, villes en feu, magasins pillés et innombrables pauvres types lynchés dans la bonne humeur de la justice sociale.
Et pas une seule analyse des statistiques criminelles…

C’est fascinant.

La France Orange Mécanique, La France Big Brother, La France Interdite, Guerilla… Tout fonctionne, tout est d’actualité.