Incapable de se rendre utile, le Gouvernement compte sur notre épargne pour relancer l’économie !

Le Gouvernement qui nous a confinés, nous demande aujourd’hui, par la voix du ministre du travail Muriel Pénicaud, de dépenser l’argent que nous avons épargné, ceci afin de relancer l’économie.

Madame Pénicaud est bien gentille, de s’intéresser à notre argent, et de nous demander de soutenir l’économie nationale, mais le problème c’est qu’elle et son Gouvernement ne nous montrent pas l’exemple.

Ce Gouvernement nous prend d’un côté une masse d’argent considérable en impôts et en taxes, que l’on soit salarié ou entrepreneur, et distribue de l’autre côté une masse d’argent tout aussi considérable pour entretenir sa politique de colonisation de la France par des assistés qui viennent du monde entier profiter de l’aubaine.

En plus de ce braquage de notre argent que le Gouvernement utilise pour nous remplacer, l’activité économique du pays qu’on nous demande de relancer en piochant dans notre épargne, a été paralysée de manière artificielle par le stupide confinement décrété il y a plus de deux mois et dont nous ne sommes toujours pas encore complètement libérés.

Enfin, à quoi bon se risquer à liquider notre épargne pour « faire repartir le commerce et l’industrie », si l’Etat s’obstine à mettre les entrepreneurs français en concurrence déloyale avec des pays qui pratiquent un dumping social inhumain, si l’Etat s’acharne à brader notre patrimoine industriel aux étrangers et si l’Etat continue d’entraver la bonne marche de l’activité économique nationale avec une overdose de taxes et de réglementation.

Pour remettre l’économie en marche de manière durable, il faut que l’Etat en finisse enfin avec ce mélange mortifère de contrôle soviétoïde de la vie de nos entreprises et de libéralisme quand celui-ci ne sert qu’à offrir notre marché aux prédateurs internationaux.

Réindustrialisation, relocalisation, baisse des taxes et allègement de la réglementation, voilà ce sur quoi devraient plancher Muriel Pénicaud et ses collègues, avant de lorgner d’un peu trop près sur notre épargne.