Catastrophe démographique, un choix délibéré
L’Observatoire français des conjectures économiques (OFCE) s’inquiète de la baisse du nombre des naissances qui a été pour la première fois, en mai 2025, moins important que le nombre des décès (650 000 contre 651 000).
L’OFCE, le chef de l’Etat et le Gouvernement disent s’inquiéter de cette situation.
Ce régime matérialiste s’inquiète notamment pour « notre modèle social », seul enjeu lié à la démographie pour ces athées matérialistes.
Cependant, comme tout problème structurel, la chute de la natalité est la conséquence d’une politique (les choix) et non d’une crise (un imprévu).
Si l’Etat et son Gouvernement souhaitaient réellement que les Français fassent des enfants, ils appliqueraient une politique nataliste, tout simplement, en prenant quelques mesures faciles à déployer, comme par exemple l’interdiction de l’avortement (avec toutes les alternatives qui existent comme l’accompagnement des femmes enceintes, l’accouchement sous X, l’aide financière aux Français économiquement démunis face à l’arrivée d’un enfant – aide largement compensée par des économies réalisées par ailleurs – , etc.) ou encore la diminution de l’anxiété des ménages à travers une véritable lutte contre la délinquance, contre l’écrasement fiscal et contre le viol des frontières françaises par la planète entière.
Cependant, ces mesures basiques (mais efficaces !) sont l’exact contraire de ce que souhaite le régime, dont l’objectif est de rendre la population la plus assistée dans l’oisiveté stérile et le consumérisme compensatoire et la plus corvéable possible pour sa partie productive (suppression de ses jours fériés, augmentation de sa durée et de son temps de travail, écrasement fiscal, absence de réaction face à l’inflation, etc.).
Pour une véritable relance de la natalité, il faut un Gouvernement qui souhaite réellement que les Français se reproduisent, c’est-à-dire qu’il faut des hommes politiques qui aiment la France et les Français, il faut donc mettre des nationalistes aux pouvoirs.