La librairie Arts Enracinés encore dégradée par les communistes
J’apprends avec consternation la nouvelle dégradation ayant frappé la librairie Arts Enracinés, et je salue d’ailleurs le courage et la ténacité de Maxime Sanial, qui dirige sa librairie sans défaillir malgré les attaques bolcheviques dont il est la cible.
Comme d’habitude, cette dégradation d’un bien privé ne fera pas la une des journaux locaux, ceux-ci étant conditionnés à ne réagir que pour « lutter contre l’extrême droite », pas question, donc, de condamner les tentatives d’intimidation de la racaille communiste qui peut agir, dans notre pays, dans l’impunité la plus totale et scandaleuse.
Oui, il s’agit bien d’intimidation, car derrière le taguage régulier d’une librairie enracinée, il y a la volonté de réduire au silence toutes les voix dissidentes, dans le sens littéral du terme, qui nous ramène à l’Union soviétique et à ses goulags.
C’est pour ça qu’il ne faut pas tomber dans le piège sémantique qui consiste, à l’instar de la droite parisienne et de ses médias, à dire que ce genre d’acte serait la preuve que les antifas sont « les vrais fascistes », car ce genre d’acte prouve au contraire que ce sont de vrais communistes. Ces gens-là ne rêvent que d’une chose : la persécution politique des opposants au Système, ce qui fait d’eux les alliés objectifs – ou les idiots utiles – du Système qu’ils prétendent combattre, et les authentiques héritiers du communisme le plus tyrannique.
Courage aux nationalistes, aux enracinés et aux patriotes, et vivement que la loi s’applique à tous, y compris aux bolcheviques !