Une profanation qui en dit long

Ce week-end, le monument aux morts de 14-18 d’une commune de la Creuse a été profané.

La liste des Français morts pour la Patrie, gravée dans la pierre, a été recouverte par le tag des prénoms « Nahel », « Adama », « Zyed » et « Bouna ».

Cette profanation en dit long sur l’idéologie et le ressentiment qui animent les pillards (abusivement appelés « émeutiers »).

Tout d’abord, il y a le fait que les morts dont les soutiens des pillards veulent honorer la mémoire, soient inscrits en REMPLACEMENT des morts pour la France, ce qui démontre une volonté de rupture d’avec la communauté nationale, une haine de l’Histoire de la France et des Français.

Ensuite, le fait que les « héros » que les allogènes et leurs alliés ont à mettre en avant soient tous les quatre des délinquants, démontre l’amalgame que la gauche fait constamment, depuis la création de SOS Racisme dans les années 80, entre les délinquants et les immigrés. Un délinquant noir ou arabe neutralisé par les forces de l’ordre serait une victime du racisme, comme s’il devait systématiquement y avoir une solidarité ethnique qui soit moralement supérieure à tout délit ou tout crime. Si on ajoute à cela l’absence systématique de cette « diversité » aux marches que les Français organisent pour leurs VRAIES victimes (qui sont, pour le coup, des innocents), on obtient une belle photographie de la réalité des choses, qui colle avec cette profanation : solidarité ethnique antiblanche et haine de la France et des Français.

Disons les termes : ces gens ne seront jamais nos compatriotes, ils ne le veulent pas et nous non plus, sauf que nous, nous sommes sur la terre de nos ancêtres. Il est grand temps d’organiser la remigration de ces agents de l’anti-France sur la terre de LEURS ancêtres.