Le délire antiraciste

Vous pouvez les assigner à résidence comme s’ils étaient des criminels.

Vous pouvez leur imposer un couvre-feu comme s’ils étaient vos employés.

Vous pouvez les priver de sorties comme s’ils étaient des gosses.

Vous pouvez leur injecter le jus de Bourla en exigeant qu’ils vous en remercient.

Vous pouvez les taxer en permanence sur chaque achat, chaque vente, chaque action entrepreneuriale, etc. tout en dégradant la qualité de leur vie et en leur demandant de travailler plus longtemps.

Vous pouvez leur rouler dessus, leur tirer dessus et les égorger au nom d’Allah tout en leur disant que les musulmans sont les premières victimes de l’islamisme.

PAR CONTRE

Si vous dites que ce serait pas mal que la France reste française et cesse d’être la cour des miracles du tiers-monde, alors rien ne va plus. Ils entrent en furie, ils chient leur haine antiraciste en cortèges, ils ouvrent des flashs spéciaux, ils deviennent les atroces caricatures des plus grands détesteurs de leur propre race, ils adulent l’antiraciste BLACK POWER et conspuent le raciste WHITE POWER, ils n’ont plus aucune logique, ils entrent en transe, qu’on en finisse avec ce grand remplacement qui n’en finit pas, que la France de souche disparaisse enfin pour le bien de l’antiracisme triomphant, que les Blancs arrêtent de vouloir exister et qu’ils se soumettent, sans broncher et sans déranger, à l’Autre, forcément mieux, en tout.

Voilà le délire antiraciste en action. Voilà pourquoi il est suicidaire de laisser à ces fous le moindre morceau de pouvoir politique, voilà pourquoi, malgré notre légitime dégoût de ce système pourri et antifrançais, il faut s’engager dans le combat contre ces monstres et leur idéologie. Comme l’écrivait Dominique Venner : « Exister, c’est combattre ce qui me nie. »