La grande trahison des petits patrons

Tous ces boulangers, tous ces restaurateurs, tous ces petits boutiquiers radins qui imposent la présence de clandestins dans leurs cuisines, sur leurs terrasses et dans nos communes en vantant le fait que ces Africains sont de meilleurs travailleurs que les « Gaulois », sont du même acabit que les dégénérés qui faisaient travailler les enfants car corvéables et peu chers. Leur promotion du travailleur immigré, qui leur permet de se mettre dans le camp des moralisateurs, n’est que le répugnant cache-sexe de leur phénoménale radinerie. Je ne verserai jamais une larme sur la fermeture d’un commerce qui préfère employer (et donc fixer chez nous) des Soudanais et des Erythréens plutôt que des travailleurs français.