Le 15 mai dernier, dans l’émission Vive l’Europe, Thomas Joly, le président du Parti de la France, tenait des propos tellement lucides qu’ils en étaient visionnaires, et qu’ils permettent, après coup, de mettre encore plus en lumière le caractère artificiel de l’énormissime exploitation politique du fait divers George Floyd.
L’intervieweur Daniel Conversano commence par expliquer que si l’on est contrôlé par la police aux Etats-Unis, « un policier vous arrête, faites ce qu’il dit », ce qui relève du bon sens le plus élémentaire, sauf pour les détraqués pour qui présenter une carte d’identité est une humiliation renvoyant aux heures les plus sombres de l’histoire.
Thomas Joly répond alors « à chaque fois on dit qu’il y a eu un meurtre raciste aux Etats-Unis, mais systématiquement c’est parce que le type est complètement défoncé et qu’il est incapable » de se laisser faire. C’est EXACTEMENT ce qu’il s’est passé avec le délinquant toxicomane George Floyd 10 jours plus tard le 25 mai.
Le fait que ce fait divers soit survenu dans ces conditions prouve que ce que dit la droite nationale est juste, mesuré et conforme à la réalité, à l’inverse de ce que prônent bruyamment les thuriféraires de la cause noire et anti-blanche que ce soit aux Etats-Unis ou sur le vieux continent.
Aujourd’hui plus que jamais, faites confiance à vos leaders nationalistes et ne cédez rien au rouleau compresseur du politiquement correct. Nous sommes du côté de la vérité, nous vaincrons !
Ces batards de juifs et francs maçon au couvernement suce les kipaas annulation du 14 cest qu il s’y a plus se sous le frique et passér à Afrique en Afrique et en frànce on leurs donne tous le grand Paris coûte très chers mes là le mâtch de foute ils on droits de se rassemblés les livreurs de patinettes et indigo qui verbaliste les voitures on aucun probleme mes ces à plusieurs dàns le vehicule cest la meme lieux de cultes juifs aucun probleme jai vue çela hier dàns le 75005 de Paris et les putes du bois Boulogne aucun probleme à suive le corona et les moustiques tigres