Le 14 juillet c’est la fête du régime, séquence d’autopromotion et d’autojustification du personnel politique républicain, les deux pieds englués dans le torrent de sang des innocents martyrs de leur guerre civile antifrançaise et anticatholique.
La fête de la France, depuis 1638 jusqu’à la Révolution puis par intermittence de 1815 à 1870, c’est le 15 août, date de l’Assomption de notre mère la sainte Vierge Marie.
Ce n’est qu’en 1880 que le personnel politique de la IIIème République (à qui on doit deux guerres mondiales) instaurera la fête nationale le 14 juillet. Un personnel politique particulièrement néfaste, à qui l’on doit également entre autres l’affaire Dreyfus, l’affaire Stavisky et la répression sanglante de la manifestation du 6 février 1934 qui visait à chasser les « voleurs ».
Le 14 juillet est la fête du plus atroce et antinational régime que notre pays ait jamais connu.
Je ne fête jamais le 14 juillet car je ne vois vraiment pas ce qu’il y a célébrer. La prise de la Bastille, vide, par des excités de la plèbe, piqués aux fesses par les francs-macs de l’époque ? Il y a plus de deux siècles que l’on nous bassine avec ces célébrations stupides qui marquent le début d’une lente décadence, accélérée que dis- je sprintée par le Poudré de l’Elysée aux ordres de ses maîtres aux trois points, tant est si bien que RF ne signifie plus Ripoublique Française mais bien Rotschild Family..
Que Dieu protège la France, malgré les péchés commis par nos politicards depuis 1789.
Je prie aujourd’hui pour les victimes de ces malfaisants