Tout le monde s’offusque des propos de Carlos Bilongo, affirmant que l’avenir appartient aux Français d’origine africaine car ils font plus d’enfants que les Français de souche.
Carlos Bilongo dit pourtant les termes et a doublement raison.
Tout d’abord, un peuple qui refuse de se perpétuer tout en accueillant des allogènes féconds par millions signe automatiquement son arrêt de mort, ou en tout cas celui de sa souveraineté et de ses valeurs de civilisation.
Ensuite, dans un pays où la démocratie est une idole intouchable, se refuser à être les plus nombreux c’est accepter de laisser les victoires électorales aux allogènes et n’avoir ensuite aucun recours légal contre la mise en place de leur propre système d’organisation de la société politique et religieuse sur notre propre terre.
Pour éviter ce scénario catastrophe attendu avec gourmandise par tous les Carlos Bilongo du pays, il faut d’urgence instaurer une politique vigoureuse de relance de la natalité, casser les innombrables pompes aspirantes de l’immigration, et en finir avec le totem démocratique qui n’apporte aux Français que la mort et la dépravation.